émulateurs d' ordinateurs

   

Commodore 64

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Spectrum

 

 

INDISPENSABLE                              

Voici un fichier CONFIG maison, vous aurez juste à changer l'adresse pour les floppy disk.

Voici les fichiers kick que vous mettrez dans le répertoire configuration. KICK13, KICK204, KICK31.

 

 

 

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1.64 Mo

04/09/2008
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Fiche Technique

Processeur

- Motorola MC68000 cadencé à 7.16 MHz

Mémoire

- 512 Ko de chip RAM extensible à 1 Mo. Contrôleur mémoire direct (DMA).
- 256k de ROM

Graphismes

- Adaptateur graphique appelé Denise avec une palette de 4096 couleurs dont 64 affichables simultanément en mode half bright (demi-teintes).
- Résolution de 320x400 en 32 couleurs et 640x400 ou 640x200 en 16 couleurs.
- Le mode HAM permettait d’afficher simultanément 4096 couleurs pour des images fixes (car trop lent pour les jeux).
- Un coprocesseur appelé blitter déchargeait le processeur de certaines taches graphiques dont les scrollings et les sprites.

Son

- Géré par Paula (Ports and Audio), le son de l’Amiga générait quatre voix avec neuf octaves sur deux canaux stéréos.
- Les fréquences allaient de 20 Hz à 6 KHz L’usage d’un coprocesseur audio permettait au processeur central de ne pas être trop chargé par le son.

Stockage

- Lecteur de disquette double face/double densité de 3,5 pouces interne au format de 880 Ko.
- Possibilité d’ajouter des disques durs SCSI sur les premiers modèles et des disuqes durs IDE sur les Amiga 1200 et 4000.

Alimentation

- Externe avec transformateur 5 V et 12 V.

Historique

L’Amiga est apparu en 1985 sous le nom d’Amiga 1000. Ce fut le premier ordinateur 16 bits réalisé par Commodore. Jay Miner, qui était à l'origine du projet imagina une machine qui possédait seulement 256 Ko de mémoire, ce qui était faible pour profiter de la palette de 4096 couleurs dont 64 affichables simultanément. Il était architecturé autour du processeur Motorola 68000. Il n' était pas faux de dire que  l’Amiga était un des ordinateurs personnels les plus puissants du milieu des années 80 (ouf ! j'avais raison).

L’arrivée de l’Amiga 500 et de ses 512 Ko de mémoire en 1987 marque l’avènement d’un phénomène, avec un OS entièrement repensé (le Workbench) et des capacités graphiques et sonores étonnantes (comprenez supérieures à l’Atari ST).

La gamme est ensuite déclinée sous la forme d’Amiga 2000, 3000 puis 1200 et 4000, la seule véritable évolution de la machine avec le passage à la famille des processeurs 68020 de Motorola et des capacités graphiques accrues par rapport à la piètre concurrence opposée par l' Atari ST.

Mais les stratégies marketing plus que discutables de Commodore et l’utilisation de nombreuses normes propriétaires (lecteur de disquette 880 Ko, faibles possibilités d’extensions) mettront fin à la belle histoire face à la puissance exponentielle des compatibles PC.

En 1995, Commodore dépose le bilan et ses actifs sont éparpillés aux quatre vents. La marque Amiga change de propriétaire à plusieurs reprises et continue aujourd’hui d’être développée sous la forme de l’AmigaOne architecturé autour des processeurs PowerPC. Mais pour tous les passionnés, Amiga rime avec Amiga 500.

Voilà, j'espère que les fanatiques d'ATARI ST ( s'il en reste) ne m' en voudront pas, après tout c'est de bonne guerre.


Qu' importe le flacon pourvu que l'on ai l' îvresse.